Elles et ils en parlent mieux que moi :
Julien Schwinte : J'ai des membres de ma famille coté maternel qui étaient des 2 cotés. - 29 mai 2016,
Daniel Schlauder : En 1918, les deux camps se sont retrouvés sans trop de problèmes, mis à part quelques railleries. Par contre en 1945, c’était la haine entre ceux qui avaient choisi l'exil (les régions francophones avaient le choix) et ceux qui étaient restés. J'ai été éduqué dans cette haine contre ceux qui « avaient fait les Boches » sans même savoir s'ils avaient fait des saloperies avec les Nazis (mis à part un cousin de mon grand-père qui était notoirement Nazi avant même leur arrivée).· 29 mai 2016
Julien Schwinte : Mon grand père paternel était un Malgré-nous. Il n'a jamais parler alsacien car il était d'un coin ou l'on parlait le patois vosgien. Ça ne la pas empêché de se faire engager de force dans l'armée allemande. · 29 mai 2016
Daniel Schlauder : Malgré-nous, encore un terme que l'on entendait dans notre jeunesse (et sans doute encore de nos jours). · 29 mai 2016
Mag Costa : En résumé on est tous des enfants de la Terre quel que soit notre lieu de naissance. Aimons-nous au delà des frontières. · 29 mai 2016
Daniel Schlauder : Comme tu dis Mag, tous des enfants de la Terre, avec des particularités dans notre histoire, mais en fin de compte pas si différentes que ça sur le fond. · 29 mai 2016